Le protocole promu par une équipe du GH Saint-Louis-Lariboisière-Fernand-Widal de l'APHM, prévoit une coopération entre un délégant, médecin compétent en addictologie et un délégué, IDE au sein d'un service hospitaier ou une structure ambulatoire d'addictologie.

JORF n°0149 du 18 juin 2020

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Dans le présent arrêté, la ministre des solidarités et de la santé apporte quelques modifications au cahier des charges fixant les modalités de mise en oeuvre de l'expérimentation d'un mode d'intervention en matière de réduction des risques et des dommages chez les usagers de drogues par voie intraveineuse, afin de réduire la durée de fonctionnement minium des salles de consommation à moindre risque, de permettre l'accès à la salle de consommation à des usagers autres que les usagers injecteurs, d'effectuer des modifications de rédaction pour adapter le texte à l'accueil de ces nouveaux usagers et pour assurer une cohérence avec les autres référentiels de réduction des risques, notamment en substituant la notion d'ancien usagers à la notion de « médiateur pair » et d'intégrer une évaluation médico-économique..

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Abrogeant l'arrêté du 1 août 2016, le ministre des solidarités et de la santé fixe, dans le présent arrêté, les nouvelles conditions de réalisation des tests rapides d'orientation diagnostique de l'infection par les virus de l'immunodéficience humaine (VIH 1 et 2) et des infections par les virus de l'hépatite C (VHC) et de l'hépatite B (VHB), en milieu médico-social ou associatif et autres centres et établissements autorisés.

JOURNAL OFFICIEL, n°143, 2021-06-22

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Les principaux faits marquants sont :

  • le potentiel addictif important de la cocaïne
  • l’augmentation de la cocaïne fumée/crack
  • l’association à risque avec l’alcool (formation d’un métabolite toxique le cocaéthylène)
  • l’augmentation des complications sanitaires graves (psychiatriques, cardio-vasculaires, neurologiques, infectieuses…) liées à la consommation de cocaïne
  • l’augmentation des décès imputables à la consommation de cocaïne

Addictovigilance, n°10, mai 2019

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Une étude du réseau national d’addictovigilance de l’ANSM rapporte une hausse constante, depuis 2014, du nombre d’intoxications par ingestion accidentelle de cannabis, principalement chez les enfants de moins de 2 ans, survenant le plus souvent dans le cadre familial.L’ANSM alerte à nouveau les professionnels de santé et le grand public sur la gravité de ces intoxications, souvent sous-estimée, qui conduisent très fréquemment à une hospitalisation.

ANSM, août 2018

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Une augmentation préoccupante du nombre et de la sévérité des intoxications liées à la consommation de cocaïne a été constatée par le réseau des centres d’addictovigilance français (CEIP-A*) et rapportée à l’ANSM.
L’ANSM souhaite donc rappeler aux médecins des services d’urgences, des services d’urgences psychiatriques, cardiologiques, neurologiques et du SAMU, les symptômes d’une intoxication par la cocaïne afin de permettre une prise en charge médicale plus rapide de ces patients.

ANSM, 2017

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