Evidence published in the Cochrane Library today will reassure people who want to stop smoking that quitting for at least 6 weeks may improve their mental wellbeing, by reducing anxiety, depression, and stress. People’s social relationships are unlikely to suffer if they stop smoking.

Gemma MJ Taylor, Nicola Lindson, Amanda Farley, Andrea Leinberger-Jabari, Katherine Sawyer, Rebecca te Water Naudé, Annika Theodoulou, Naomi King, Chloe Burke, Paul Aveyard, Cochrane Database of Systematic Reviews, 9 mars 2021

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Chez les patients ayant un trouble de l’usage de l’alcool, les outils disponibles en médecine générale sont : L’entretien motivationnel (EM) qui a montré une efficacité à court terme sur les consommations de substances comparativement à l’absence d’intervention. Les thérapies cognitivo-comportementales même s’il y a peu de données spécifiques à l’approche psychothérapeutique par un médecin généraliste. Les médicaments indiqués dans le maintien de l’abstinence après un sevrage […] Une réduction de la consommation d’alcool a été proposée comme objectif thérapeutique et permet à certains patients de s’inscrire dans un projet de soins.

Soins du patient ayant un trouble de l’usage de l’alcool en médecine générale - pour une prise en charge thérapeutique conforme aux données de la science
CNGE - Collège National des Généralistes Enseignants, 15 octobre 2019

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Soins du patient ayant une consommation d’alcool à risque en médecine générale - Pour un repérage systématique et non jugeant
CNGE - Collège National des Généralistes Enseignants, 18 juin 2019

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Ce livret est structuré en quatre parties:

  • La première consiste en une introduction générale aux usages de drogues, aux soins et à la notion de bonnes pratiques.
  • La deuxième partie présente des pratiques de soin,
  • La troisième se concentre sur quelques situations spécifiques récurrentes
  • La quatrième propose un focus sur des publics spécifiques.

Eurotox, Livret 5, 100 p.

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La plupart des villes européennes sont confrontées à la consommation et au trafic de drogue dans l'espace public. Les Salles de Consommation à Moindre Risque (SCMR) sont des outils qui peuvent réduire les risques liés aux drogues et aux addictions pour les communautés locales et mitiger les problèmes que celles-ci génèrent en matière de sécurité urbaine. Mais la question se pose de comment établir et gérer de telles structures afin qu'elles soient acceptées par les résidents locaux et utiles pour les usagers. Cette publication examine comment les SCMR peuvent favoriser la sécurité publique et la cohésion sociale en Europe. Elle fait un bilan des approches suivies par les municipalités européennes pour mettre en place des SCMR afin de renforcer leurs stratégies locales de réduction des risques et de sécurité urbaine. Elle rassemble des exemples de pratiques, présente un outil d'évaluation des impacts en matière de sécurité et d'intégration locale des SCMR.

Forum européen pour la sécurité urbaine, mars 2020, 61 p.

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Addictions, risques suicidaires, troubles des conduites alimentaires, émergence des pathologies psychiatriques...
Cet appel à projets s'adresse aux associations et à toutes structures à but non lucratif qui accompagnent les adolescents et les jeunes adultes en souffrance psychique, avec les objectifs suivants:

  • Renforcer les capacités des professionnels à évaluer les risques sous-jacents et/ou initier des thérapeutiques adaptées;
  • Développer de nouvelles actions permettant de repérer les situations de détresse dès leur apparition et/ou de prendre en charge des jeunes en souffrance sur la durée;
  • Renforcer l'accompagnement des familles dans la prise en soins des patients;
  • Prévenir les ruptures de soins et favoriser l'autonomie des jeunes

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Au sommaire de cette plaquetteréalisée par le Centre d'Addictovigilance PACA Corse

  • Les faits marquants des dispositifs DRAMES et DTA sur les décès : la majorité des décès sont liés à un  opioïde ; la méthadone est la 1ère substance retrouvée et on observe une augmentation des décès liés à la cocaïne qui dépasse les décès par héroïne;
  • Les complications sanitaires graves liées à la cocaïne, l’augmentation de la pureté des échantillons de cocaïne et les associations à risque;
  • Les facteurs pouvant augmenter le risque de surdose aux opioïdes;
  • L’importance de promouvoir l’indentification des facteurs de risque de surdose et les modalités de prise en charge auprès des professionnels, patients, usagers, entourage;
  • La nécessité d’améliorer l’accessibilité à la naloxone pour l’usager/tiers ;
  • Comment sécuriser la prescription et la délivrance des médicaments opioïdes au bénéfice du patient
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L’ANSM a délivré une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour la spécialité Nalscue (naloxone 0.9 mg/0,1 ml) le 28 juillet 2017. Jusqu’à la mise en conformité de la notice et de l’étiquetage, d’ici 3 mois environ, les conditions d’accès à Nalscue resteront celles de l’ATU de cohorte. Dès que l’AMM sera effective, Nalscue sera disponible sur prescription médicale non obligatoire. Les CAARUD (Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues) pourront alors la délivrer.

ANSM, juillet 2017

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L’AMM de la spécialité Nalscue (naloxone 0,9 mg/0,1 ml) pour le traitement d’urgence des surdosages aux opioïdes entre en vigueur le 8 janvier 2018. L’ATU de cohorte prend donc fin à cette date. Dans l’attente de la détermination de son prix et du taux de remboursement, le médicament sera disponible selon de nouvelles dispositions, dites post-ATU.

ANSM, 8 janvier 2018

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